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 Chroniques Historiques

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MessageSujet: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyDim 10 Juil 2016, 3:31 pm

Contexte du forum

 

Sommaire



Vous trouverez ici un résumé de l'histoire de mobius et les évents qui auront lieu. Un résumé des évents sera écrit à la fin de chacun d'eux. Ces informations ne sont pas obligatoires mais permettent d'approfondir vos connaissances de l'univers.

Séparation continentale
L'ARK
Les Echidnés
Les chroniques
Histoire Passée
Contexte de Soleanna
[url=LIEN]EVENT #1 : à venir...[/url]




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MessageSujet: Re: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyJeu 21 Juil 2016, 4:27 pm

Séparation continentale



Il y a 50 ans, jour pour jour, avait lieu un événement inédit dans l’histoire de la planète Mobius : Après un tremblement de terre, d’intensité variable selon la zone du globe concerné et d’une durée de quelques dizaine de minute, le continent commun où se trouvait les Terres-Unis, Les terres fraîchement décolonisées et les désert du sud se sont brutalement divisé en 3 parties, provoquant tsunami et inondations sur les côtes avoisinantes. Assigné à un mouvements des plaques tectoniques, ce changement dans la morphologie des continents a été vu comme une brusque accélération de l’évolution géologique. Bien que les chercheurs de différents pays s’accorde aujourd’hui pour dire que les études et les datations prouvent que de tels mouvements ont déjà eut lieu dans l’histoire de la planète, les raisons de ce changement sont toujours sujette à caution.

La Séparation des continents : Quelle cause ?



Là où les scientifique et les géologue autant Humains que Mobiens ne semble pas avoir d’explication claire pour justifier ce mouvement des plaques, différentes théories ont vu le jour, et notamment la plus connue, provenant à l’origine de groupement échidnés. Selon la version échidnéenne, des humains aurait tenté de se servir des émeraudes à mauvais escient, réveillant la puissante déité Gaïa (voir : Histoire des échidnés), qui, en s’agitant, aurait séparer les continents. Preuve en serait que le ciel se serait recouvert d’une lueur violette en plein jour, coloration émanant des rayon de Gaïa. Les images filmés de l’événement, pour rare qu’elles étaient, montre bien un ciel obscurcit, mais ne prouve rien, la technologie ne permettant pas la couleur. De nombreux témoignages ont cependant appuyé ce fait. Sur internet on trouve de très (trop ?) nombreuses explications alignant différentes théories du complot concernant des armes de destructions massives, jetant toujours l’oprobre sur les gouvernement des Terres-Unis et sur le tout récent GUN.

La Séparation des continents : Quelles conséquences ?



Vu comme une aubaine par le gouvernement des Terres-Unis, qui s’éloignait ainsi des trop instables nouveaux états Mobiens, restés sur le vieux continent, on suppose que l’événement, a empêché tout autre tentative d’invasion, et a, à terme, condamné des état fondé sur une puissance terrestres et voués à la seule guerre, tel l'Empire Coyote à la déliquescence puis à la disparition.Des bases militaires, restant isolés dans le nouveau continent sud, ne tarderont pas à être également abandonnés et le matériel qu’elle renferme sera pillé par d'autre groupe dans d'autres guerres intestines pour le contrôle des ressources. Ce qui explique l’insécurité y régnant encore aujourd’hui et les nombreux armement dissipé partout dans la nature, tel les fusil d’assaut MO-47, arme de l'Empire Coyote, aujourd’hui symbole de nombreux groupes indépendantiste et/ou criminels.

Loin au sud-est de Spagonia, tout comme au nord de la Mazuri, s'est ouverte une zone de conflits devenu dès lors permanente, une zone de non-droit où s'affronte une multitude de chef de guerre. Échappant à tout contrôle comme à la possibilité d'en dresser une chronique complète, cette zone a finit par gagner l'appellation de "Vallée des Mercenaires", en rapport avec le fort trafic de combattant venu de tout bord pour proposer leur service au plus offrant. Riche en ressource, la Vallée des Mercenaire est devenu un grand échiquier sur laquelle des faction de première importance, comme le GUN, l'Empire ou même les FF, n'ont pas hésité à poser leurs pions, transformant les affrontements territoriaux en d'incessante guerres par procuration.

Loin de se concentrer, les conflits et le chaos se sont étendu à d'autres village, car comme le désert, la Vallée avance tant que rien ne semble vouloir stopper sa matrice meurtrière, ni l'ambition de ses belligérants.

La séparation des continents a également aidé le Royaume Acorn a traiter d’égal à égal avec ce qui serait désormais le “continent humain”, qui a tout de suite chercher de nouveau débouchés économiques après leur isolement forcé. La géopolitique Mobienne a donc été grandement influencé par cet événement. Elle a empêché la guerre telle qu’elle était connu depuis un demi-siècle, obligeant dorénavant les différents acteurs internationaux à se livrer à des conflits d’influence par procuration, a vu la déliquescence des grands empire et la multiplications des échanges, a divisé le monde en région économique, le nord et le sud. Phénomène dont les causes restent mystérieuses, on ne cesse d’en mesurer, encore aujourd’hui, les conséquences, à moyen et long terme.

rédigé et publié par Armadillio Finstev


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MessageSujet: Re: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyJeu 21 Juil 2016, 4:28 pm

Histoire de l'Ark



L'Ark - une Menace à l’abandon


L'Ark est une station spatiale conçue et envoyé en orbite par les hommes, il y a de cela 50 ans. Le but officiel de la station était de donner un lieu de travail pour effectuer des recherches de toutes sortes, dans le but d'affirmer la suprématie technologique des toutes nouvelles Fédérations Unies. Bien que possédant de fait une avancée technologique majeur sur tout le reste de Mobius, l’Ark aurait empêché les peuplade inférieur s'approprier les recherches et données des humains en cas de guerre au sol et de défaite.

Sa fabrication, par un conglomérat de laboratoires de recherches de la Fédération pris environ deux décennies et se fit dans le plus grand secret. Les documents déclassifiés permette d’affirmer que plusieurs prototypes bâclé ont été projeté dans l’espace, dans la panique et suite aux invasion. C’est enfin au vu et au su de tous que la Fédération proclama avoir projeté avec succès l’Ark. Et si les médias et la population en fut informé, bientôt, elle ne fut plus du tout mentionnée, même par la classe politiqu et, le temps faisant son travail, tomba dans l’oubli. Il est vrai que cela se fit à une époque particulièrement bouleversé dans l’histoire Mobienne, entre nouvelle indépendance, séparation des continents et divers troubles politiques. Cependant c’est pourtant dans cette édifice en forme de sphère que se joua un drame non sans importance dans la conjecture actuelle.


On sait aujourd’hui qu’un professeur, dénommé Gerald Robotnik, fit partie des personnes ayant eut la chance d'intégrer la station spatiale,ses connaissances rendant son concours nécessaire. Les archives note un fait : Le savant aurait accepté les propositions de la Fédération, à la seule condition qu’une de ses proches, Maria la rejoigne sur la station orbitale. Anecdote anodine, à première vue, mais qui eut des répercussion majeur : En acceptant la condition, le GUN donna à l’Ark la possibilité de mener à bien différent projet, et notamment celle d’une arme, sensé être l’ultime outil de dissuasion contre les ennemis des Fédérations Unis. Néanmoins, la grande majorité des travaux ne sont évoqué que par des noms de codes, dans les archives, et on ne peut qu’essayer de deviner leur usage. Pour ceux ayant laissé plus de matériel derrière eux, on est en droit d’hésiter : Ont-ils été détruit, ont-ils été classé secret défense, ou ont-ils jamais existé ? Entre le mythe et la réalité, entre ce croquis d’un grand lézards, “prototype de forme de vie ultime” semblant sortir d’un délire Meers et le bien existant Canon au sein de la station spatial, il est difficile de faire la part des choses.

D’autres recherches sont nécessaires, car l’Ark est bien plus qu’un satellite ou un morceaux d’histoire : C’est une menace potentielle, flottant en orbite autour de Mobius et ignoré de la plupart de ses habitants. Aucune volonté politique de détruire la station ou d’informer la population n’a eut lieu, et cela a peut-être un rapport avec la fin tragique qu’a trouvé Gerald. Lors de ses recherches, un éléments semble avoir mal tourné, provoquant le décès de Maria. Fou de rage et de tristesse, Gerald fut incarcéré quelques temps plus tard dans ce qu’on connaît aujourd’hui sous le nom de Prison Island, un pénitencier isolé du reste du monde avant d’y trouver la mort dans des conditions dont on ignore tout.

Des dernières réalisation du savant, de son désir de revanche sur la Fédération, qui l’a trompé, les archives ne disent rien. Ce qui rend d’autant plus inquiétant la silhouette métallique de la foide station orbitale, laissée à l’abandon : Les trous dans les archives sont rarement issus la volonté des historiens lorsqu’ils concernent des événements aussi récents, mais plutôt de celle de groupe bien plus puissant, tel les services de renseignement du GUN, cherchant à effacer des détails de l’histoire “gênant” d’un revers de main, car ne correspondant pas au corpus officiel, décrivant le GUN comme un strict outil de défense respectueux des individus - Ce qui reste, pour certains, encore du domaine de la théorie...

rédigé et publié par Armadillio Finstev


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MessageSujet: Re: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyJeu 21 Juil 2016, 4:29 pm

Histoire : les Échidnés


Introduction : les limites de l’histoire



Dans l’état des connaissances historiques actuelles, que sait-on réellement des échidnés ?

De nos jours, les données historique sur ce peuple sont relativement ténues. Cela peut s’expliquer par l’ancienneté des événements historiques constituant la destinée de ce peuple. Aujourd’hui, et c’est un fait, le mythe semble inévitablement se mêler à l’histoire : Objet de plus d’un débat, il cristalise les opinions. La destinée des échidnés, doit-elle se “savoir” ou se “croire” ? Peut-on démontrer, sur une base purement “scientifique” et “objective” que l’ensemble des caractéristiques qu’on leur attribue existent réellement ?

Les historiens de l’école humaine détestent naturellement tout ce qu’ils ne peuvent comprendre. “Si on ne peut l’analyser, c’est que cela n’existe pas”. De ce postulat brutal, ils placent ainsi sèchement une barrière entre les domaines de l’historien et du théologien. Ils éludent ainsi la question, pourtant élémentaire : Pourquoi parlerait-on aujourd’hui encore des échidnés s’ils n’étaient que les représentants d’un peuple amoindrie, dont l’histoire serait sujette à caution ? Incapable de répondre à cette question, les historiens humains détourne le regard, là où une analyse dans différents domaines, transversale, serait nécessaire pour faire l’état des lieux d’un Empire qui, bien qu’il n’existe plus, est, à l’heure actuelle, très certainement le plus puissant que Mobius ait jamais porté. C’est ce paradoxe, à priori insoluble, qui sera donc clarifié ici.

Le Mythe / la Croyance



L’origine du monde et les émeraudes du chaos



À l’origine, l’on peut dire en se basant sur la tradition orale (et plus récemment écrite) que la destinée du peuple échidné remonte à des millénaires avant notre ère. Si d’aucun scientifique s’accorde pour donner des explications difficilement vérifiable (mais néanmoins plus “rationnelle”) sur la création du monde par l’intermédiaire d’un Big Bang, la tradition échidnéenne insiste sur la création du monde par une entitée supérieure, fusionnant avec son oeuvre pour donner naissance à ce que les échidnés appelleront Gaïa, un être duquel viendrait tout ce qui vit sur Mobius, étant à la fois la nature et ceux qui y vivent, unifiée, de laquelle tout vient et vers laquelle tout retournera, ainsi qu’une autorité, la source de toute les énergies, l’auteur du bien et du mal.

Dans ce monde, récemment créé, les échidnés auraient été les premières forme de vie, et les seules qui auraient durablement pu vivre en communion avec Gaïa. Et c’est bien celle-ci qui leur aurait donné l’”Alahas nga gahum”, les 7 joyaux de pouvoir, connu sous le nom des sept émeraudes du chaos. Reliées indissociablement au “Tinubdam sa gahum”, la source du pouvoir, appelé émeraude-mère, ces artefacts d’origine minérales serait porteur de caractéristique diverse selon les récits, permettant de faire ployer le temps et l’espace selon la volonté de son propriétaire, pour peu qu’il s’en montre “digne”. Déjà pourvu de ces pouvoirs, qui semblent conférer au mythe, elles auraient par ailleurs donné aux échidnés les connaissances en toutes choses, notamment en la Vérité.

Les Échidnés, un peuple élu ?



Trouvant en ces connaissances de quoi leur permettre de régner sur le monde et de faire connaître la Vérité aux foules ignorantes, les échidnés aurait alors réalisé un grand bond, développant une civilisation n’étant alors qu’à ces balbutiements, construisant d’étrange tumulus de pierre étonnement grands pour l’époque, fabriquant des outils doté de propriétés hors du commun. Il semblerait que le génie n’ait plus été qu’un fruit, dont les échidnés se serait emparé. Choisi par Gaïa, élus au-dessus de tout les autres “peuples” de Mobius pour les dominer tous, cette apogée aura durée. Mais n’aura pas été éternelle.

En premier lieu, ce qui devait être un et un seul peuple se divisa. Fruit de leur arrogance respective, les “pécheurs”, nommé aussi Babyloniens dans la traditions, décidèrent de prendre pied dans le ciel, laissant le “monde d’en-bas” aux échidnés d’origine. Sont-ils devenus subitement des oiseaux ? Étaient-ils aussi dans le secret de la Vérité ? Là-dessus, les écrits ne se recoupent pas : Mais tous évoque la guerre “pour le pouvoir” une guerre pour les émeraudes, qui se serait soldé par la défaite des Babyloniens incroyants et par l’apparition des “îles flottantes”. Les échidnés, parlaient-ils d’îles flottantes dans les airs, ou des îles sur radeau, dont on a découvert des traces dans les ruisseaux bordant le temple de Pachacamac ? Sur une de ces îles serait également toujours gardé l’émeraude-mère. Mais était-ce une réalité ou une parabole ?

De même, qu’ont fait les échidnés pour retourner contre eux-même Gaia, qui, généreuse, semblait aussi avoir une face cachée, sombre et cruelle ? Là encore de nombreuses raisons sont évoqués. Porté par leur fierté, vindicatives, les tribus se seraient fait la guerre. Jusqu’au jour où le pouvoir des émeraudes se trouve si mal employé que Gaïa, n’osant plus regarder ses fils en face, décide d’en faire disparaître une grande partie. Les écrits, parlent-ils en réalité d’une catastrophe naturelle ? C’est là qu’il est difficile de faire tout à fait la part entre récit descriptif et métaphorique. C’est là qu’il est difficile de connaître, par la tradition oral, le regard que les échidnés avaient réellement sur eux-même.

Le peu que nous en dit l’Histoire humaine



À côté de cela, l’histoire des quelques archéologue humains, dont plusieurs expéditions fouillent toujours un cratère au milieu de la jungle dans lequel ils auraient vécu, se montre bien chiche en explication. Lors de la colonisation, plusieurs artefacts semblent avoir été purement et simplement pillé par les autorités et achetés par des membre de la classe dirigeante des Terres-Unies comme d’intéressante curiosité. L’on connaît l’existence de plusieurs tribus en se basant sur des pointes de flèches, notamment celle de Pachacamac, de plusieurs temple en pierre. Les pyramides érigés, sans structure de métal et sans aucun ciment, reste les souvenirs les plus surprenants laissé par la civilisation échidnée. Impénétrable, on suppose qu’elle ne renferment rien si ce n’est des scépultures.

De même, les historiens passe généralement assez rapidement sur le récit des émeraudes, s’accordent pour dire qu’il s’agit d’affabulations. Internet regorge de théorie les concernant, bien qu’aucun travail réalisé par de vrai historien n’ait jamais été produit. De même, les quelques descendants des tribus survivantes n’ont pas su éclaircir davantage les livres d’histoires humains - à moins que ceux-ci ait décidé de ne pas prendre leur témoignage en considération.

La Religion : La trace qu’on laissé les échidnés



Ceci étant, la tradition orale concernant Gaïa et la tradition écrite (“Le manuscrit de Gaïa”) s’est pourtant répandue. Porté par des échidnés dans diverses autres peuplades Mobienne, cette parole s’est suffisamment diffusé pour laisser une trace indélébile dans la majeure partie de la population. Preuve de cet engouement, preuve de la transmission de ces croyances, de nombreux symbole, dont celui de l’émeraude-mère, présente sur de nombreux anciens étendard pré-coloniaux. À l’époque de la colonisation, la croyance en Gaïa a évolué et s’est transformé au sein des populations colonisés comme une croyance : celle de la libération du joug humain. L’histoire des échidnés s’est faite histoire des Mobiens, histoire des opprimés, histoire de la nature détruite par les barbares.

Ce retour à la terre des origines et ce mépris pour les constructions humaines ont probablement été les marqueurs important pour tout combattant de la liberté pour les Mobiens en ce temps, qui se figuraient les inventions, et plus particulièrement les machines, faites des mains d’hommes comme des abominations contre-nature, venu pour régner et faire souffrir les Mobiens (probablement avait-il à l’esprit les terribles Factory Areas dans lesquels les colonisés étaient réduit à un esclavage arbitraire).

La construction de l’identité Mobienne, d’une façon “Mobienne” de voir le monde, doit ainsi tout aux échidnés. Et c’est ce que les historiens humains ne veulent pas voir. Qu’importe au final si les détails historique de ce manuscrits sont pour eux sujets à caution, et si personne ne cherche à prouver leur aspect véridique. Il s’agit avant tout d’une école de pensée, pour ne pas dire une religion. Et en cela, le royaume échidné s’est avant tout formé dans les esprits. C’est encore de celui-ci que sont issus toutes les indépendances, la conception de la vie, de la création du monde et même de la mort chez une majorité de la population Mobienne, allant même se frayer des adeptes chez les humains. Et si les historiens n’apporte pas de crédit aux conciliabules de vieux échidnés coiffées de longue dreadlocks, parlant du peuple de Gaïa, cela revêt une importance mineure. Peut-être, certain de ces scientifiques ont-ils cru, dans leur cauchemar, apercevoir la longue silhouette d’une île volante se détachant du ciel, prouvant aux yeux du monde qu’ils ne détiennent pas toute la vérité. Et en cela, l’Empire Échidné est le plus puissant, le plus durable de tous. Et pour longtemps...


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MessageSujet: Re: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyJeu 21 Juil 2016, 4:29 pm

Les Chroniques



Introduction - Avant l’an 0




Mobius est une planète. Et sur cette planète cohabitent différents continents.
A la suite d'une terrible guerre ayant eut lieu sur un continent habité par des humains, (inconnu dans les textes), des centaines de navires ont afflué vers les côtes d'un nouveau monde. Plus hospitalier ou plus cruel ? En tout cas différent de ce que les prisonniers, entassés à bord, avaient connu.

Considéré comme une terre d’exil par les hommes, ignorant alors tout de la géographie et de sa topologie. Les hommes connaissent alors bien peu de choses : l'agriculture sédentaire, la chasse et la pêche, bref, des moyens de subsistance primaires. Certains d'entre eux, plus aventuriers, décide d'ailleurs de s'arroger d'immenses terrains, en allant plus loin vers le nord et l'est. Longtemps, ils pensent habiter seul dans ces vastes étendues désespérément vides. Jusqu’au jour où, à force d’aller toujours plus loin, leur conviction sera ébranlé par leur rencontre avec l’inconnu. Quelques récits oraux font état de l’existence de “monstre” se déplaçant eux-aussi sur deux pattes. Mythes, légendes sans doute. On suppose qu’il s’agit de mythes ou d’hallucinations. Nous sommes alors quelques siècles avant l’an 0.

l’An 0



Cette année 0 sera marqué par la rencontre avec les Mobiens. Il est générallement reconnu que le Roi des hommes, à la tête d’une large expédition, aurait aperçu un hameau inconnu à des kilomètres du royaumes. Quelle n’est pas leur surprise lorsque les membres de l’expédition réalise que ces étrangers ont des têtes d’animaux. C’est la débandade. De retour sur leur terres, le Roi meurt “subitement” (en vérité d’un empoisonnement) ce qui engagera ses successeurs à penser que les hommes-bêtes leur ont envoyé de mauvais sorts. Ils décident de revenir, de piller et d’écraser l’hameau vu précédemment. Mais en s’enfonçant trop loin dans les terres étrangères, ils arrivent sur le territoire de Mobiens d’une nature plus guerrière, qui les chassera, les poursuivra et iront jusqu’à piller le royaume… Bref, en un mot comme en cent, la rupture sera consommé et l’amertume sera grande contre ces “sauvages indigènes”.

Les humains vivront isolé pendant encore des siècles. Arrogant, revanchard, leurs dirigeants finiront par leur mettre en tête qu’il faut faire courber l’échine à ces hommes-bêtes. Qu’ils doivent légitimer leur statut d’homme véritable sur la nature sauvage, qu’ils doivent confirmer “l’ordre naturel des choses”. Ce mélange de haine, de dégout et d’effroi deviendra un sentiment viscéralement enfoncé dans l’imaginaire humain.

La Colonisation



Centralisant leur ressources au prix d’une centaine de réforme détruisant les frontières entre leur royaume commun, qui prendra la forme d’un état moderne (Terres-Unies) , les hommes se mettent en marche, arborant leur avancées militaires récentes tel la veste d’apparat d’un nouveau maître du monde. Les hommes envahissent, asservissent les populations Mobiennes, et agrandissent démesurément leur territoire. Ils peuvent dès lors utiliser à bon escient ceux qu’ils voient comme des êtres inférieurs. La jeune industrie donnera naissance aux complexes industrielles connu sous le nom de “Factory Area”, où les hommes-bêtes (Qu’on a voulu renommé en utilisant un terme scientifiste et moderne, “Hybride”) serviront de mains-d’oeuvres. Les terres envahis par les humains seront alors considéré comme leur colonies.

Le sort des territoires libres



Au-delà des colonies, les humains ne le savent pas encore, mais un Mobien écureuil nommé “Alexander” décide de s’enfuir, non sans difficulté, du camp entouré de barbelés dans lequel on l’a installé après le meurtre de sa famille par les colons. Dans sa fuite, il parvient, en passant par un fleuve, à traverser les frontières coloniales. Traversant une forêt dense et des montagnes, il atteint une valée où vivent des Mobiens totalement isolé du reste du continent. L’écureuil amaigri et faible qui est accueilli par les habitants ignore tout de son avenir. Il ignore qu’il deviendra bientôt leur chef et que, ayant en main les connaissances donnés par les humains, il fondera ce qu’on appelle aujourd’hui le royaume Acorn.

D’autres Mobiens ont réussit à s’enfuir des colonies. Si leur nombre n’est répertorié nul part et semble négligeable, ils ont souvent eut de grandes conséquences. On considère que tout les “royaumes” moderne, tel celui de Soleanna, ou celui de Dragon Kingdom, toujours séparé par des barrières naturelles des colonies, ont connu un développement semblable.

L’invasion coyote et la fin des colonies



Parmi tout les Mobiens, un groupe unique se sera constitué en état et se sera proposer pour venir en aide aux humains : Les Meers. Principalement constitué de Reptiles de marais, considérés comme des sous-fifres particulièrement efficace par les hommes, ceux-ci leur donneront quelques armes et les laisseront partir envahir pour leur compte des petites parcelles de territoire. Un fait qui serait passé inaperçu dans l’histoire s’il n’avait pas eut la mauvaise idée d’aller envahir le territoire des steppes et de s’y livrer, comme à leur habitudes, à des orgies de violence et à des éliminations systématique des populations civiles.


La réponse à cela fut une attaque de cavaliers coyote, qui écrasèrent sèchement les Meers. Dirigé par un Khan considérant qu’il ne pouvait y avoir qu’un maître sur terre, les coyotes ne s’arrêtèrent pas là, et attaquèrent les colonies. Les humains ne s’y attendaient pas. La première attaque et la panique des élites dirigeante firent un effet domino : Les Mobiens se révoltèrent contre l’oppression, depuis longtemps insupportable, avec l’aide d'organisations paramilitaires infiltrées de leur propre chef au sein des populations. Parmi celles-ci on trouvait des coyotes, mais également des soldats du Royaume Acorn, et des éléments éparses de guérilla, nouveaux et constitués de la masse insurgée ou de combattants venant de régions libre. La Libération, soutenu par des troupes très hétéroclites, tint bon malgré l’avantage technologique des armées coloniales. Ces dernières, reculant, laissant place à une mosaïque d’état indépendants mais inorganisé (qui entrèrent dans une période de conflits ponctuels), finirent par totalement abandonner le terrain., laissant derrière eux une mosaïque d’états indépendants, avec lesquels seront obligé de négocier les humains après leur évidente perte de prestige. Afin de se protéger en dernier recours contre les invasions, les hommes donneront des droits presque égaux aux Mobiens vivant dans les Terres-Unies, et réorganiseront les armées sensé se battre contre les coyotes pour former les gardiens des nations-unis (le GUN contemporain).

L’histoire telle que raconté par les humains est une histoire parcielle, incomplète. Les livres d’histoires écrit de mains d’hommes ne disent rien des territoires libres comme Soleanna, de l’histoire du royaume Acorn et pourquoi il est aujourd’hui puissant. Ils ignorent l’histoire dans l’histoire, celle des échidnés, des émeraudes du chaos.

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MessageSujet: Re: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyJeu 21 Juil 2016, 4:34 pm

Histoire passée


Se trouve ici une synthèse de la plupart des événements passé. En raison de la nature des plus synthétique du présent texte, vous êtes prié de vous référer, en cas de question, au textes complets. Si vous n'y trouvez pas de réponse, vous pouvez tout à fait me formuler votre question par mp ou sur le présent topic.

Concernant la création du Monde



Selon les échidnés, Mobius aurait été créé par la volonté d’une entité supérieure, fusionnant avec sa création pour devenir “Gaïa”, créatrice de toute chose. Choisissant les échidnés, leur donnant le pouvoir et les connaissances nécessaires pour permettre un essor rapide de leur civilisation, qui laissera divers temples et édifices funéraires, en particulier à l’emplacement actuel de Downunda, des artefacts légendaires et des mythes vivaces concernant les émeraudes du chaos, l’émeraude mère et une mystérieuse île volante. Si leur essor est une évidence pour les spécialistes, ces derniers restent circonspect à l’égard des mythes, l’histoire étant ancienne, et n’ayant pas laissé de preuve suffisante pour des scientifique qu’aucun décrit comme sceptique.

Concernant les humains et les Mobiens



Après avoir vécu longtemps éloigné des Mobiens, les Humains eurent avec eux leur premier contact lors de “l’An 0”. Contact hostile s’il en est, suivit d’affrontement et d’une longue période d’isolement. Passé ce cap, les humains, fort d’une technologie bien supérieur et réunit sous l’unique bannière des Terres-Unies, se jetteront à l’assaut de Mobius afin d’envahir des pans plus large de territoires, et y établir un système de domination sous le nom de Colonies.


Le système coloniale perdurera pendant plusieurs décennies. N’ayant pas envahit l’intégralité du territoire, s’arrêtant devant des barrières naturelles difficiles à franchir. Des états naîtront, se construiront en opposition avec les Terres-Unies, les imitant parfois pour tenter de les dépasser, tel la cité-état de Soleanna, ou le Royaume Acorn. Cependant, une armée à la solde des colons s’aventurera trop loin en territoire sauvage, et amenera la réaction de troupes de cavaleries Mobiennes, qui partiront à l’assaut des structures coloniales Humaines avoisinante : L’Empire Coyote. Empire volatile, brutale et désorganisé qui s’effondrera en moins de deux décennie avant de totalement disparaître. Il aura été au moins un facteur qui permit aux Mobiens de se mobiliser contre la main-mise humaine, ce qui renversa le rapport de force.

C’est quelques années plus tard qu’un événements inédit, une série de tremblements de terres accompagnant un mouvement généralisé des plaques tectoniques, divisera le continent sur lequel s’était déroulé l’histoire connue en plusieurs petits fragements, séparant la Fédération des terres décolonisées. Cette Séparation des continents, ayant une cause restée mystérieuse (liée, selon la population, à Gaïa, “mythe” encore vivace dans les croyances héritées des échidnés) sera l’ultime coup de boutoire faisant s’effondrer les nouveaux impérialisme Mobiens, vacillant, et éloignera pour longtemps les représailles à grande échelle entre la Fédération et le monde de l'ex-colonisation. Cet événement sépare l’histoire “passé” (les Chroniques du passé) de l’histoire “présente” (le Contexte Actuelle).

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MessageSujet: Re: Chroniques Historiques   Chroniques Historiques EmptyJeu 21 Juil 2016, 6:10 pm

Soleanna


Soleanna, un fait historique unique au monde



“Soleanna pourrait être noyé demain, que son peuple ne la quitterai pas”
- Compte de Monterebbia

“Soleanna n’est habité que d’hommes et de femmes faisant partie de la grande humanité. Plus loin que nos différences, ce sont bien nos valeurs, nos ancêtres communs qui nous unissent.”
- Magistrat Capergna, juge du tribunal Soleannien


Connu comme étant la seule “ville sur l’eau” Soleanna est aujourd’hui une destination touristique prisé. Particulière, elle est, et non seulement dans son architecture, mais également dans son histoire.

A l’origine, Soleanna n’était qu’un hameau, construit sur une île isolé au fin fond des terres par un groupe d’explorateur humain, des siècles avant le début des colonies. Fait rare à l’époque, découvrant les Mobiens marins vivant dans les eaux alentours, ils n’ont ni fuit ni fait preuve d’agressivité, mais décidé de s’adjoindre leur concours. Ne faisant pas face à des populations de nature particulièrement hostile, les explorateurs sauront s’en servir pour fonder leur ville, enseignant aux Mobien les rudiments de la construction et de leur langue. Ce projet commun se poursuivra au fil des siècles, donnant naissance à une situation rarement observé de société mixte, très différents du mode de pensée coloniale, qui n’atteindra par ailleurs jamais l’île, contrairement a quelques centaines de réfugiés Mobiens fuyant l’oppression instigué par les colons. Cela peut sembler idyllique, et pourtant ce fait est avéré dans les archives de la ville et est recoupé par d’autres sources. Pour autant, le système Soleannien n’a pas empêché plusieurs régressions de tensions entre classes sociale, sur fond de conflit interethnique.

Au fil des années, la coexistence a vu l’apparition de mixité dans les attributions politique et économique, qui verra l'apparition de classes sociales “métissé” (en d’autre terme, constitué indifférement de Mobiens et d’humains). Cette particularité de la ville deviendra une doctrine, celle des “Mi-humains”, préférant considéré les Mobiens comme des sortes d’humains plutôt que l’inverse. On observera d’ailleurs une identification des Mobiens habitant la ville à leur compatriote de l’espèce humaine, conséquence logique des société à deux vitesses. C’est belle est bien cet esprit de corps qui amènera Soleanna à son Apogée, et permettra le développement du premier nationalisme issu d’une cité-état. Doté d’une marine militaire faisant d’elle une puissance régionale, le conseil des sages dirigeant la ville a cependant toujours choisi de ne pas se mêlé des tant problématiques “histoires du continent”, s’isolant, à tort ou à raison, des événements historiques. Une flotille de combat Meers sera tout de même stoppé et détruite à des centaines de mètres de la côte, sans pour autant que le générallisime Soleannien ne cherche à entrer en contact avec d’autres armées Mobiennes, principales adversaire du Meersline Oberstadt.

Isolationniste, Soleanna se replie sur elle-même durant la crise. Des penchants xénophobes on pu alors se faire une place au sein d’une société unifié, influençant les membres du conseil, édictant alors des lois, réduisant les droits des “terrestres”. À différents degré, des proximités avec l’idéologie Meers (concernant les “velus”) on pu alors y être observé, sans pour autant atteindre leur extrêmisme.

Evoluant avec l’esprit du temps et s’ouvrant petit à petit aux économies et aux idées extérieures, Soleanna est aujourd’hui une cité-état moderne, mais dont le fonctionnement et les traditions garde leur spécificités.

rédigé et publié par Armadillio Finstev
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